Le babka est une brioche arrivant tout droit des pays de l’Est, majoritairement de la Pologne. Son nom est tiré des mots “babouchka” ou encore “baba”, signifiant “grand-mère”.
Cette viennoiserie est devenue tendance ces derniers temps en France et moi la première en ai été conquise. Mention spéciale à celle goût chocolat-noisettes!
J’ai donc voulu faire mon premier babka maison et voici aujourd’hui la recette.
INGRÉDIENTS
Pour la brioche
- une pincée de sel
- 250g de farine
- 12g de levure de boulanger
- 50g de sucre
- 150g de lait
- 50g de beurre
Pour la garniture
- pâte à tartiner (j’ai opté pour celle de Jardin Bio)
- des noisettes concassées
- du chocolat noir concassé
Passons à la réalisation de la recette!
- Commencer par ajouter dans un saladier le sel, la farine, la levure de boulanger (diluée préalablement dans de l’eau tiède durant 15 minutes), le sucre et le lait.
- Pétrir durant une dizaine de minutes à la main (ou laisser faire le robot!).
- Ajouter le beurre à la préparation et continuer de pétrir afin d’obtenir un mélange homogène. La pâte ne doit pas coller.
- Dans un saladier légèrement huilé, laisser la pâte reposer 1 heure au réfrigérateur, couverte d’un torchon.
- Une fois la pâte reposée, la pétrir une nouvelle fois et laisser reposer encore 30mn au réfrigérateur.

- Pétrir une dernière fois la pâte. Une fois cela fait, fariner un plan de travail et former un rectangle avec la pâte. La longueur du babka équivaut à la longueur du moule et la largeur, trois fois le moule.
- Etaler la pâte à tartiner, parsemer le tout de noisettes et de pépite de chocolat à notre convenance.

- Former un boudin avec la pâte et découper celui-ci dans le sens de la longueur.
- Tresser les deux morceaux de pâte ensemble, le chocolat devant être face visible.


- Mettre le babka dans le moule et laisser reposer durant 1 heure à température ambiante.
- Préchauffer le four à 180 degrés.
- Faire cuire le babka durant 25 minutes environ selon le four.

- Le meilleur moment arrive … déguster et savourer!

“Nul n’est heureux que le gourmand”
Jean Jacques Rousseau